Oui, j'y suis arrivé à écrire et finir un ouvrage, malgré ce deuil qui ne finira jamais, ainsi que la lenteur de la
justice qui veut que je m'épuise, tout comme le chauffeur et son employeur... Ils font tous fausse route... Je tiendrai jusqu'au bout. Rien ne m'arrêtera. Johanna est dans
un cercueil pendant que tout le monde est LIBRE... Nous sommes aux 6 ans de la mort de Johanna. Va t-on me laisser en
paix , en deuil ?
Où est la justice dans ce bas monde ?
Mise à jour : 4 chapitres supplémentaires pour plus de crédibilité. En ce samedi 18 janvier 2025, je viens de mettre à jour ce post. Oui, il possède 382 pages maintenant, le premier tome. Ci-dessous les titres des quatre chapitres supplémentaires, qui donnent encore plus de relief à mon livre. J'ai cette fois fini la relecture complète, car toutes les corrections ont été faites à la main ; je n'avais pas voulu du fichier tout prêt de ma correctrice. Et comme je ne veux pas que l'on puisse se moquer de moi, j'ai entamé encore une relecture minutieuse dernièrement. Il me faut être professionnelle, si un jour, peut-être, je veux être repérée. Je tiens encore à rester le maître de mon ouvrage, comme celle de ma survie... Ma correctrice m'a bien aidé, parce que mon premier travail de correction n'était pas bon. Désormais, il l'est totalement, cela laissera à certains et à certaines, eh bien pas le moyen de me critiquer. Et puis qui pourrait le faire ? Après ce terrible drame qui est venu sournoisement dans ma vie. Il en faut des forces et des c....... pour pouvoir en écrire un. Pourquoi un livre si épais ? Eh bien, tout simplement pour y écrire les nombreuses injustices que j'ai vécues depuis le 16 janvier 2019 ; la justice et les "autres". Nous vivons, je vous l'assure dans un monde qui est bien dénué de sens. Mais avec mon ouvrage, je sais que je suis là où on ne m'attendait certainement pas !
Sandrine Barthélémy ©
Le début de ma survie
Mi-septembre 2021, mi-octobre 2021
En chemin vers peut-être la vérité
"Personne d'autre ne sait mieux que moi aujourd'hui qu'une catastrophe n'arrive pas qu'aux autres, que la vie distribue ses drames sans regarder qui les mérite le plus. "
Patients de Grand Corps Malade